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Diapason de octobre 2017 Critique de Bertrand Boissard Page n° 113
Format : 1 CD Durée totale : 01:09:41
Enregistrement : 20-22/06/2016 Lieu : Londres Pays : Royaume-Uni Prise de son : Eglise / Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68183 EAN : 0034571281834 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2017 Date de sortie : 31/05/2017
Genre : Classique
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Charles Villiers Stanford (1852-1924) Vingt-quatre préludes pour piano, op. 163 Vingt-quatre préludes pour piano, op. 179
Sam Haywood, piano
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Quittant Stanford inspiré jusqu’au génial (CDA68174), je le retrouve dans un discours autrement intime. Son œuvre de piano est injustement méprisée, bien que les concertistes anglais s’évertuent à la redécouvrir depuis le début du XXIe Siècle, Christopher Howells en a même enregistré l’intégrale, Peter Jacob les avait tous précédé en gravant une anthologie où figurait déjà les deux livres de 24 préludes chaque illustrant toutes les tonalités. Sam Haywood y met son piano élégant, distinguant avec beaucoup d’art les pièces de genres (Carillons, Basso ostinato, En rondeau, surtout l’étrange Musette) des préludes qui sont plus des études où fleurissent arpèges et cantabile. Le cycle entier – trente huit pièces donc - doit s’apprivoiser, musique volontiers secrète qui en son ultime opus dévoile une admirable mélodie : cet Addio une fois entendu ne s’oublie plus, et rappelle quelle influence décisive eut le piano de Schumann sur tout ce que les compositeurs anglais du post romantisme composèrent pour le clavier (Discophilia - Artalinna.com). (Jean-Charles Hoffelé) Stanford retained an enthusiasm for the music of Bach throughout his life, and the two sets of ‘Twenty-four Preludes in all the keys for pianoforte’ are a clear homage to JSB’s own ‘48’. Sam Haywood, making his second recording for Hyperion, performs his own selection.
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