|
Format : 1 CD Durée totale : 00:52:00
Enregistrement : 2015 Lieu : Berlin Pays : Allemagne
Label : Orfeo Référence : C922171 EAN : 4011790922126 Code Prix : DM019A
Année d'édition : 2017 Date de sortie : 12/05/2017
Genre : Classique
|
|
|
Frédéric Chopin (1810-49) Études (12), op. 10 Étude op. 10 n° 1 en do majeur Étude op. 10 n° 2 in A minor 'chromatique' Étude op. 10 n° 3 in E major 'Tristesse' Étude op. 10 n° 4 in C sharp minor Étude op. 10 n° 5 in G flat major 'Black Key' Étude op. 10 n° 6 in E flat minor 'Lacrimosa' Étude op. 10 n° 7 en do majeur Étude op. 10 n° 8 in F major Étude op. 10 n° 9 in F minor Étude op. 10 n° 10 in A flat major Etude op. 10 n° 11 en mi bémol majeur Étude op. 10 n° 12 en do mineur ‘Revolutionary' Études (12), op. 25 Étude op. 25 n° 1 in A flat major 'Aeolian Harp' Étude op. 25 n° 2 in F minor Étude op. 25 n° 3 in F major Étude op. 25 n° 4 in A minor Étude op. 25 n° 5 in E minor Étude op. 25 n° 6 in G sharp minor Étude op. 25 n° 7 in C sharp minor Étude op. 25 n° 8 in D flat major Étude op. 25 n° 9 in G flat major 'Butterfly' Étude op. 25 n° 10 en si mineur Étude op. 25 n° 11 in A minor 'Winter Wind' Étude op. 25 n° 12 en do mineur
Amir Katz, piano
|
Il y a deux sortes de pianistes qui signent l’orée de leur carrière au disque : ceux qui gravent les trois dernières Sonates de Beethoven ou ceux qui enregistrent les Vingt-Quatre Etudes de Chopin. Amir Katz ne les aura pas gravées d’emblée. Commençant chez Chopin pour son premier éditeur Oehms, et sur un Steinway aux teintes diffuses, il aura choisi les Nocturnes. Cinq années plus tard, un nouvel éditeur offrait au jeune pianiste des horizons nouveaux : son amitié avec Pavol Breslik le menait chez Orfeo. Une "Belle meunière" magnifique de pur lyrisme, la plus passionnée depuis celle de Fritz Wunderlich montrait chez Amir Katz des affinités particulières avec Schubert que sacra une gravure éblouissante des Impromptus : littéralement on ne les avait plus entendus joués avec autant de caractère depuis Edwin Fischer. Deux mois plus tard, toujours à la Salle 1 de la Funkhaus Nalepastrasse et sur le même Steinway il se mesurait aux Vingt-Quatre Etudes. Sa technique impeccable le délivre de tout soucis de virtuosité, son jeu clair, le raptus de sa fabuleuse main gauche, l’absolu contrôle des polyphonies emportent l’opus 10 d’un trait, avec des allégements, un toucher volatil, des couleurs irradiantes qui semblent comme venus d’une autre époque pianistique. Mais la vraie merveille reste l’opus 25, où la virtuosité n’est plus que poésie, le clavier devant s’y parer de teintes irréelles. Une telle science du clavier dans cet opus si singulier me rappelle le geste d’aquarelliste de Grigori Ginzburg. Tant d’élégance, tant d’art, tant de poésie, décidément Amir Katz est chez lui dans l’univers de Chopin. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)
|
. |
|
|
|