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Diapason de octobre 2019 Critique de Maximilien Hondermarck Page n° 94
Format : 1 CD Durée totale : 01:14:22
Enregistrement : 2017-2018 Lieu : Cambridge/Hereford Pays : Royaume-Uni Prise de son : Eglise / Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68222 EAN : 0034571282220 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2019 Date de sortie : 01/08/2019
Genre : Classique
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Gerald Finzi (1901-1956)Magnificat, op. 36 "Welcome sweet and sacred feast", op. 27 n° 3 "My lovely one", op. 27 n° 1 "God is gone up", op. 27 n° 2 Nunc dimittis "White-flowering days", op. 37 "All this night", op. 33 Seven poems of Robert Bridges, op. 17 I praise the tender flower I have loved flowers that fade My spirit sang all day Clear and gentle stream Nightingales Haste on, my joys! Wherefore tonight so full of care "Lo, the full, final sacrifice", op. 26 Alexander Hamilton, orgue Asher Oliver, orgue Trinity Brass The Choir of Trinity College Cambridge Stephen Layton, direction
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C’est entendu : toute musique de Gerald Finzi est vocale, par essence même dans ses concertos où la clarinette est une mezzo, le violon un garçon soprano, et par nature dans ses impérissables cycles mélodiques. Mais on connait bien moins ses œuvres chorales, partagées entre sacrée et profane, où il épure les pompes du Magnificat pour vous les faire émouvantes, et revisite avec une grâce désarmante la tradition victorienne des Partsongs. Ecoutez seulement « My lovely one » pure poésie ! Sommet de cet album où le lyrisme attentif, tendre, tout en dévotion de Stephen Laytron et de ses Trinitiens trouve à s’employer mieux qu’en tout autre répertoire, les Sept Poèmes de Robert Bridges, guirlande de nostalgies distillée avant que ne paraisse le chef d’œuvre de ce disque précieux, « Lo, the full, final sacrifice » écrit en écho à la seconde guerre mondiale, faisant émerger de la déploration une élévation mystique qu’un orgue discret conduit vers la lumière. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)
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