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Format : 1 CD Durée totale : 01:02:40
Enregistrement : 20-21/03/2017 Lieu : Londres Pays : Royaume-Uni Prise de son : Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68192 EAN : 0034571281926 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2018 Date de sortie : 04/04/2018
Genre : Classique
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Nicholas Ludford (?1485-?1557) Kyrie Alleluia. Ora pro nobis Hac clara die turma Ave Maria, ancilla Trinitatis Missa Videte miraculum
Mark Dobell, ténor Robert Macdonald, basse Jonathan Brown, basse Chœur de l'Abbaye de Westminster James O'Donnell, orgue, direction
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Nicholas Ludford compositeur anglais de l'époque Tudor dans la lignée de Robert Fayrfax et de John Taverner a composé une vingtaine de messes dont un cycle de sept messes à trois parties dédiées à la Vierge "Lady Masses" conçu pour être chanté en petit comité dans des chapelles des institutions religieuses chaque jour de la semaine. Homme secret et dévot, Ludford possède un style propre savamment contrapuntique mais il s'avère surtout soucieux d'explorer la tessiture vocale par une surabondance de mélodies, une recherche de détails « fleuris » le tout mêlant exubérance et concision. La "Missa Videte miraculum" à six voix témoigne de cette approche imaginative et scrupuleuse du texte illustrée par un style volontiers décoratif semblable aux enluminures des manuscrits gothiques. Deux de ces courtes "Lady Masses" sont incluses au programme. Elles révèlent en quelques minutes, où de brèves sections chantées alternent avec l'orgue, la force et l'intensité du langage harmonique du compositeur. Le chœur de la Westminster Abbey (La ville où vécut le compositeur) composé d'une bonne partie de trebles, pouvaient être évidemment les plus qualifiés pour interpréter ces messes. Ils attestent effectivement d'une endurance et d'une homogénéité à toute épreuve dans ces pages condensées, écrites dans des tessitures souvent délicates. (Jérôme Angouillant) Nicholas Ludford’s music is by no means eclipsed by that of his more famous near contemporaries (who include Tallis and Taverner). That such wonderful works—virtually forgotten for nearly half a millennium—can once more be heard is cause for heartfelt gratitude.
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